Voyage

Le Havre.

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Autobus.

Honfleur c’est vraiment beau.
Le Havre, pas tant.

Le Havre was once synonymous with urban gloom and greyness. The city’s inhabitants have done much to change this.

Hé, j’ai rien inventé.

En fait, c’était difficile à pied en peu de temps avec des bagages de bien découvrir le Havre. C’était pas une ville qui s’est dévoilée immédiatement comme une (Hon)fleur. Les journaux de la ville parlaient du maire qui met la moitié de la ville en chantier de construction avec 4 chantiers majeurs pour 4 projets différents. La gare centrale était au centre de ce chantier et j’étais dans ce labyrinthe qui s’éternisait.

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L’image du Havre qu’on voit en majorité sur leurs brochures touristiques.

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Pas de petites maisons historiques ici.

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Attraction touristique ; les cônes de sapin.

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Oh, j’ai trouvé la Cathédrale Notre-Dame du Havre. La tour de la cloche est datée de 1520 et c’est un des seuls édifices du centre du Havre qui ne s’est pas fait détruire pendant la 2ième guerre mondiale.

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C’est le départ.

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Voyage

Festival de Trouville terminé ; faut aller voir Deauville.

En suite au précédent post qui se situait à Trouville, voici la suite du voyage que j’essaye d’immortaliser ici à défaut de l’avoir fait directement à mon retour en septembre 2011.

Deauville c’est la « grosse affaire ». Boutiques trendy, limousines, clubs select, etc… Le off-courts de Trouville-sur-mer est né, il me semble, en réaction au gros festival du Cinéma Américain qui se déroule chaque année à Deauville. Avec un off festival qui allait présenter du court métrage en Français dans ville voisine, plus sympatique, c’est vrai que ça faisait de la contre-programmation parfaite.

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‘Muricaaa

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Jolies baraques.

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Le festival et son tapis rouge large.

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Tout le monde a son casino.

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Des gens nus fesses et un terrain réservé aux joueurs de boules. Ça s’invente pas.

On est le vendredi 9 septembre 2011 et le lendemain je prends l’autobus vers Le Havre pour traverser au U.K.

Film, Voyage

Rocambolesque Trouville 2011

J’ai mis un nouveau film sur Synaptic.TV. Un film qui date de 2011 et que j’aime beaucoup considérant ce que ça a pris pour le réaliser.
Ton chien est mort

Et maintenant, voici comment ça s’est déroulé :

Début septembre 2011, je suis envoyé en mission à Trouville pour participer au Kabaret Kino du festival Off-Courts. Ce sont des rencontres France/Québec autour du court-métrage et c’est vraiment ce qu’on sent avec une grande délégation Québécoise qui va en France pour présenter leurs courts métrages de la dernière année ou, comme moi, produire spontanément quelque chose de nouveau. Du coup c’était la première fois que je passais du temps en France.

Nous débarquons de l’avion, nous embarquons dans une mini-fourgonnette et nous partons vers Trouville. 2 heures après nous prenons possession de notre chambre d’hôtel et allons presque immédiatement rencontrer le maire de la ville à l’hôtel de ville.
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Cocktail et présentations. C’est pas mal le lancement du festival. Ça a commencé intense et c’est le rythme que ça a gardé pendant toute la durée du voyage.

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La vue du balcon de l’hôtel de ville.

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Toujours du balcon mais en regardant de l’autre côté. Le Kinolab est juste au pied du casino à gauche caché sur la photo.

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Et derrière le casino, c’est la plage et le boardwalk.

Ça me fait quelques variables déjà à évaluer pour me trouver une idée de film. J’ai ma liste de « vieilles » idées à faire mais rien m’emballe tant que ça dans le décor qui s’offre à moi. Vu le nombre de québécois qui débarquent dans la ville pour le festival, j’ai quelques idées plattes du genre de faire un débarquement en Normandie mais avec des artistes québécois. On aurait vu une usine au Québec qui fabrique des artistes/combattants pour prendre possession de la France. Kavanagh, Linda Lemay, Coeur de Pirate, etc.. Disons que j’avais déjà mis cette idée de côté pour le bien de l’humanité. Je pars vers une projection du festival qui s’appelle « Made in Trouville ».

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Dans le Kinolab en bois, bâtit uniquement pour le festival et démantelé dès que c’est terminé, c’est déjà le party avec les groupes Who are you et Tom Fire. La soirée glisse comme le bon calvados.

Le lendemain, rendez-vous de production.
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Nous sommes le samedi 3 septembre en matinée et c’est un peu là que je m’engage à produire un film pour la première projection du Kino Kabaret le lendemain dimanche 4 septembre à 22h. C’est casse gueule. Très très casse gueule. J’aurais pu y aller pour le mardi 6 septembre et le 8 septembre mais comme la majorité des gens se placeraient dans ces cases là je me suis dit que je réussirais encore l’exploit comme j’avais fait à Bruxelles en livrant un film complexe dont j’étais satisfait pour la première projection du Kabaret. Bon, pour y arriver j’avais peu ou pas dormi et j’étais sur le bord de la crise de nerf mais ça avait marché. L’idée la plus réalisable alors provenait sans qu’il le sache de mon ami Deze dont le chat égyptien était tiraillé entre son ex et lui. Au rendez-vous de production Antoine Arnoux avait apporté son chien Séquotine et j’ai fait 1+1 : j’étais alors pour avoir un film où un type veut revendiquer les droits des hommes à une garde partagée juste et où il y aurait un gros malentendu par rapport à si nous parlons d’un chien ou bien d’un enfant. Ouf, c’était un synopsis laborieux mais j’avais la journée pour l’écrire et la fignoler. Le lendemain matin je tournais sans faute, et le lendemain soir je présentais. Casse gueule encore. J’ai réservé quelques acteurs, le chien Séquotine et je suis parti de midi à 17h en repérage dans la ville pour me laisser inspirer et penser, seul, à mon scénario.

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